600. Une véritable consécration. Un objectif atteint, presque un trophée. Comme les 39 conquêtes, c’est une aventure qui se savoure étape après étape. Car au fond, ce n’est jamais la destination qui compte le plus, mais bien le chemin que l’on emprunte pour y parvenir. Et cette halte des 600, c’est un belvédère superbe, une vue dégagée sur tout ce qui a déjà été accompli et sur ce qu’il reste encore à explorer. Une bière comme une pause sur un col, juste avant le dernier assaut vers le sommet. Une gorgée de fraîcheur avant que l’effort ne reprenne, un petit souffle qui redonne envie d’aller plus haut. Cette bière foncée, la première que j’apprécie vraiment. Rien que ça, c’est un exploit personnel. Une progression inattendue, un peu comme ce chemin improbable qui m’a fait passer de la Leffe Ruby aux stouts, comme une ascension gustative vers des horizons plus intenses. Bref, un cap, un panorama, une bière… et l’envie de continuer l’aventure.

Alors perso, je ne sens pas du tout le romarin mais plus la figue. Mais c'est très bon quand même

C’est acide, on sent bien plus le romarin que la figue

La figue est trop discrète, on se retrouve avec une blonde +

Le romarin est présent en bouche mais ne degoute pas